• Voilà, mes petits français sont partis. Hier. 


    C'était bon de les avoir à la maison, même si finalement ils passaient toutes leurs journées tout seuls, pendant que moi je travaillais...

    Comme dit Gaëlle, ce qui est terrible, c'est qu'on a fini par trouver normal de se voir tous les jours. Et puis tout à coup : plus rien !

    En ce moment il fait tellement chaud que les touristes se sont cachés. Même si ici on étouffe, c'est agréable de pouvoir enfin sortir, une fois le soir tombé, sur les places bondés de Rome afin d'y respirer un peu. Bière, short, tongues. 

    Dans une semaine je rentre à Paris.

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  • Ah j'oubliais. J'ai appris en discutant avec l'un des clients du restaurant, un chic type d'une quarantaine d'années, qu'il était producteur de films pour le cinéma. 
    C'est d'aiileurs par lui que j'ai su que Simone, un bellâtre charmeur qui vient manger de temps en temps (et qui ne perd pas une occasion de me dragouiller), est un acteur assez connu en Italie...


    On rencontre de drôles d'oiseaux tous les jours !

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  • Alors, quoi de neuf en ce moment ?


    J'ai ma copine Gaëlle et son frère à la maison pendant une semaine. Comme ils sont d'origine bretonne, on les a forcés à faire des crêpes pour tout le monde samedi dernier.




    Samedi dernier, justement, nous avons voulu aller danser sur la plage à Ostia. Pas de chance : je me suis faite arrêtée par les flics à 50 mètres du parking de la boîte, sans mon justificatif d'assurance voiture, et je me suis pris une prune de 35 euros (en attendant de déposer ledit papier sous 20 jours au commissariat). Nous avons passé une heure sur le terre-plein à signer des papiers, ce qui nous a fait arriver à l'entrée du club à 3h du matin. Ils nous ont refusé l'entrée parce que, Ô surprise, les boîtes ferment à 3h30. Désespérés, nous avons fini par boire un café dans le dernier local ouvert, un pauvre bistrot à la déco ultra kitsch. Toutes ces bêtises nous ont fait rentrer à 5h, sans n'avoir rien fait de la soirée.




    Et aujourd'hui j'ai travaillé au resto. Il n'y avait pas beaucoup de clients, mais j'ai croisé au moins une quinzaine de riverains que j'ai l'habitude de saluer. J'ai réalisé qu'ils m'appelaient tous par mon prénom, ou alors par un diminutif inventé par eux. Ca m'a fait plaisir, j'ai compris ce qu'était une vie de quartier.

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  • Je crois que j'ai atteint un niveau de pauvreté assez avancé. Je suis d'ailleurs certainement en-dessous du seuil offciel (sérieux). 


    Heureusement que je partage un appartement et que ça me coûte un loyer ridicule. Heureusement que j'ai perdu le goût du shopping, du moins je m'y suis contrainte, et qu'on peut sortir à Rome pour pas trop cher. Heureusement que la chaleur m'a coupé l'appétit, que mon boulot me permet de manger le midi à l'oeil et que, du coup, mes dépenses ne vont pas chercher bien loin. 

    Hier midi j'ai fait cinq euros de pourboire ; ça m'a permis de m'acheter de quoi manger pour les deux jours suivants. Je crois que c'est la première fois que je fais des courses en comptant au centime près, afin de ne pas dépasser une somme précise (cinq euros en l'occurence). 


    Aller on rigole, c'est pas bien grave ! Un  jour viendra où je serai riche, et repenser à ces moments-là me fera sourire.

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  • Y a pas à dire : un bateau ça change la vie.
    Je reviens d'un week-end de trois jours au Rayol, un petit village du sud de la France en bord de mer. Xav (mon coloc quand j'habitais à Paris) m'a offert le voyage, ce qui m'a permis, une fois de plus, de profiter avec lui et ses amis de la beauté des lieux. 

    Résultat : je suis rentrée fraîche et requinquée ! Ca doit être tout le vent, pris en pleine tête pendant ces trois jours, qui m'a nettoyé le cerveau. Vive le bateau !

    Photo de Sylviette

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