• Je viens de comprendre ce qui distingue vraiment la femme italienne de la femme française, et plus précisément la Romaine de la Parisienne.


    Rien à voir avec les cheveux, les talons, le ventre, les yeux, le sac à main...

    Non, l'Italienne est beaucoup plus autoritaire. Elle s'enflamme un peu plus facilement, et quand elle gueule, elle y va à fond. 

    ici, pas de sentiment de supériorité masculine, contrairement à ce qu'on pourrait imaginer.

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  • Que quelqu'un m'explique.


    Cet après-midi, j'ai parcouru la moitié de la ville à la recherche de coins encore inexplorés. J'ai halluciné : pas un chat dans les rues, pas une bagnole ni un scooter, magasins et bars fermés... Un vrai no man's land ! Bon d'accord il fait chaud, les gens sortent moins, ou alors ils vont à la mer, ou alors ils se réfugient dans les salles de cinéma et les musées climatisés. Mais de là à ce que les rues et les boulevards habituellement bouchonnés soient déserts ! C'est samedi merde, que quelqu'un m'explique !

    Cela dit c'était pas désagréable. C'est comme si on avait fait évacuer la ville sans m'avoir prévenue, comme si Rome avait retrouvé la paix.


    Photo de Sylviette

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  • Autant Rome avait copié la nuit blanche parisienne, autant le concept de plage à la ville date de bien avant Paris-plage. A Rome, cela se faisait déjà dans les années 40. 



    J'ai vu une affiche "Tevere-village" près de mon travail (je rappelle que Tevere veut dire Tibre, le fleuve qui coupe Rome en deux), ça a attisé ma curiosité, alors j'y suis allée. Par chance j'avais mon appareil photo.

    Déjà, petite déception : le Roma-plage n'a lieu qu'entre deux ponts, soit sur environ 100 mètres de berge de part et d'autre du Tibre. Autre hic : il n'y avait pas un chat, cela m'a donc semblé d'une tristesse sans nom. Normal quand on y pense : les Romains ont la vraie mer à côté, pourquoi iraient-ils se faire chier à ramener crème et maillots au bord d'un fleuve à la propreté plus que douteuse ?... 

    J'ai donc l'impression que, contrairement à Paris, l'initiative fait ici un beau bide. Il y avait entre 15 et 20 personnes à tout casser. J'espère pour eux que ça se remplit un peu à l'heure de l'aperitivo.




    C'est dommage car je trouve ça bien que les Villes (dans le sens mairies) lancent des opérations de ce genre. A Paris, je me souviens, la plage en bord de Seine a fait un vrai carton à chaque fois. Personnellement, même si c'est souvent un peu le bordel, qu'on est entassés les uns sur les autres et que ça pullule de marmaille, je ne suis pas contre. C'est sans doute ma fibre socialiste qui resurgit : au moins comme ça, même les petits mômes de banlieue peuvent endosser leur maillot de bain et se sentir en vacances. Et puis ça attire le peuple et le touriste, ça fait marcher les commerces et ça donne un coup de fouet à l'image de la Ville (au mon dieu, c'est mon ancien métier qui resurgit !).

    Et pour les mauvaises langues qui continuent d'accuser les insitutions de dépouiller le contribuable, il suffit de voir toutes les enseignes partenaires de ce genre d'opérations... Un parasol Lipton c'est moche, mais au moins ça coûte rien.

    Photo de Sylviette

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  • Je reviens d'un week-end de trois jours aux Cinq terres, territoire fabuleux du nord ouest de l'Italie. 


    Il s'agit d'une zone protégée, d'un parc naturel classé absolument maginifique, composé de cinq villages perchés au bord de la mer. Pour aller de l'un à l'autre, il suffit de prendre un train qui longe la côte, un vrai bonheur. 

    Rome, l'ombre d'un instant, me paraît bien fade à côté. 




    Photo de Sylviette

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  • En ce moment il fait un temps vraiment bizarre. On crève de chaud toute la journée, puis il se met à pleuvoir très fort (sans que l'air ne se rafraîchisse pour autant), puis le ciel se découvre et il se remet à faire un temps fabuleux. Ca donne par moment des couleurs assez fantastiques, voire surnaturelles. 




    Avis à mes deux amies d'enfance qui viennent dans moins de quinze jours : je vous en supplie, rapportez-moi les deux valises de fringues d'été que je vous ai laissées avant de partir ! Je commence à avoir vraiment du mal avec mes jeans ! 


    Photo de Sylviette

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